Premiers pas : la protection

On dit toujours, moi la première, qu’en sorcellerie ce qui compte le plus c’est l’intention. Mais en réalité, ce n’est qu’une des deux choses les plus importantes, l’autre étant bien sûr la protection.

Se protéger soi-même, protéger son environnement, mais aussi protéger les autres, c’est indispensable, pour ne pas dire vital. Et en matière de protection, il y a de quoi faire : pierres, plantes, talismans, rituels, sorts,… le choix est vaste.

Voici donc les bases à connaître pour pratiquer sereinement et sans danger.

Deux casques anciens posés sur du feuillage.
Casques anciens - par Blitzmaerker sur Pixabay

Bien lire le mode d’emploi

La sorcellerie, comme beaucoup de choses dans la vie, ne se pratique pas n’importe comment. Quand vous prenez un médicament pour la première fois, que vous montez un meuble en kit ou que vous installez un appareil électro-ménager, en toute logique vous commencez par lire la notice. Et bien cela vaut aussi pour le domaine qui nous intéresse : avant de lancer des sorts, de pratiquer des rituels ou de manipuler des objets à vocation ésotérique, on apprend comment faire.

Et une des premières choses qu’on nous enseigne, c’est de se protéger. Parce qu’AUCUNE pratique magique n’est sans risque. Oui, même tirer les cartes peut être potentiellement dangereux si l’on ne fait pas attention…

Cette protection peut prendre plusieurs formes, se faire sur différents supports et se mettre en place de différentes manières. Il convient donc de bien se renseigner pour trouver la ou les manières de faire qui vous correspondent, ou qui sont dans vos moyens (dans tous les sens du terme, c’est à dire que vous en avez les compétences, les moyens techniques, et financiers si vous devez acheter du matériel).

La protection étant quelque chose de très important, il convient évidemment de ne pas se lancer à la va-vite, de bien réfléchir à tous les détails, de ne rien laisser au hasard. Gardez en tête que votre bien être, votre santé, votre espace personnel (et potentiellement votre vie) en dépendent.

Pour bien commencer, il faut bien purifier

Trop souvent négligée, la purification est le premier pas pour une protection efficace. C’est assez évident : comment voulez-vous être bien protégé·e si vous ne commencez pas par faire partir les mauvaises énergies qui sont déjà présentes autour de vous ?

Qu’il s’agisse de votre espace personnel ou de vos outils de travail, qu’il s’agisse de vos pierres ou de vos cartes,… avant toute pratique (et a fortiori avant chaque première utilisation) : pensez purification. 

Il existe plusieurs méthodes, qu’il faut adapter selon ce qu’on doit purifier. Ces différentes méthodes sont la fumigation, les purifications par un élément naturel (eau, feu, terre ou air), la purification au sel, l’exposition au Soleil ou à la Lune, et enfin par les pierres (avec les géodes de quartz). On choisit la méthode en se posant une simple question : l’objet à purifier supporte-t-il cette méthode ? Par défaut, puisqu’elle ne présente aucun risque pour les objets, quel qu’il soient, la fumigation peut être utilisée par défaut.

Avertissement à propos de la fumigation : l'utilisation du Palo Santo, de la sauge blanche et de la technique dite du "smudge" (ou "smudging") est de l'appropriation culturelle, en plus de causer un véritable désastre écologique (le Palo Santo étant une essence en voie d'extinction, et la sauge blanche est aussi en danger à cause de la sur-exploitation). Ces deux plantes et cette technique font partie de la culture amérindienne. On peut aisément les remplacer avec les essences européennes (nous avons d'ailleurs sous nos latitudes plusieurs types de sauges). Protégez les autres cultures : ne volez pas leurs rites et ne les spoliez pas de leurs richesses naturelles !

Les protections magiques

Une fois que vous avez effectué le travail de purification, il est temps de bâtir de solides barrières pour empêcher d’autres mauvaises énergies de parvenir jusqu’à vous. Votre lieu de vie, votre lieu de travail, votre véhicule, vous et vos proches, tout peut être protégé, d’une manière ou d’une autre.

Un seul mot d’ordre : choisissez ce qui vous convient le mieux. Une protection sera bien plus efficace si vous avez un bon feeling dessus. Ne vous contentez pas de reproduire fidèlement ce que vous avez lu dans un livre ou sur un site spécialisé : les personnes qui écrivent les rituels et sortilèges le font avec leur propre expérience, avec ce qui fonctionnent pour elleux. Testez, questionnez-vous, analysez : si quelque chose ne vous plaît pas, cela risque de ne pas fonctionner, parce que vous n’y croirez pas assez. Ayez confiance en vous !

Petit avertissement : tout ce dont je vais parler n’offre qu’une protection relative et partielle. Rien n’est miraculeux, les énergies sont toujours fluctuantes, et la plupart des protections sont très ciblées (une sera pour la maison, une autre contre les mauvaises énergies, encore une autre pour soi-même,…). Il faut donc savoir exactement ce dont on a besoin avant de chercher la protection qui convient.

Correspondances

Loin d’être exhaustive, voici une liste des correspondances de base autour de la protection et qui pourront vous servir lors de vos rituels, sorts, charmes pour protéger :

  • Couleurs – blanc, bleu, noir
  • Encens – basilic, citronnelle, eucalyptus, lavande, lotus
  • Herbes & plantes – ail, angélique, anis, basilic, bruyère, chèvrefeuille, clous de girofle, cumin, fenouil, feuilles de framboisier, fougère, géranium, jasmin, lavande, lierre, menthe, oignon, pin, pissenlit, poivre noir, romarin, sauge, thym.
  • Phases de la Lune – décroissante, pleine Lune
  • Planètes & astres – Jupiter, Lune, Soleil
  • Jours de la semaine – dimanche et lundi
  • Mois – Janvier
  • Divers – coquilles d’œuf, poudre de brique, sel, terre

Protection d’un lieu

Les méthodes sont encore une fois multiples, et beaucoup se mêlent aux superstitions. Mes préférées sont réputées pour faire fuir les personnes qui viendraient avec de mauvaises intentions : la croix de sel sous le paillasson et les petites sorcières sur leur balai qu’on accroche face aux portes (et parfois aux fenêtres). J’en ai une, d’ailleurs, rapportée par mes parents d’un voyage en Allemagne. Depuis des années elle veille sur mon foyer, tel Cerbère gardant la porte des Enfers…

Gros plan sur le visage de porcelaine d'une poupée sorcière sur son balai volant.
Sorcière protectrice venue d'Allemagne - ©La Tanière de Mélusine

Pour protéger un lieu, il y a aussi les runes du Futhark (l’alphabet du vieux norrois, la langue des viking). Les runes associées à la protection sont :

  • Thurisaz  th,þ  (qui bénit et purifie, elle dissout les énergies),
  • Hagalaz  h  (appelée « l’étoile de chance« , symbole protecteur très répandu dans les bâtiments anciens, protège des intempéries),
  • Algiz  z  (la plus puissante rune de protection, elle repousse tous les maux, on l’incluait très souvent directement dans l’architecture des bâtiments, sur les poutres extérieures, et elle était aussi souvent gravée sur les armes),
  • Berkano  b  (pour protéger des secrets, car elle cache et sauvegarde),
  • Ingwaz  ŋ  (qui protège à la fois de l’extérieur et de l’intérieur, on peut donc l’utiliser pour contenir quelques chose de nocif pour le rendre inoffensif, Ingwaz est idéale pour la protection du foyer),
  • Othalaz  o  (protection du patrimoine, de l’héritage ancestral, tout autant que de la maison et des possessions),
  • Dagaz  d  (protection contre les esprits nuisibles, à mettre sur toutes les ouvertures et les structures droites des maisons).

On peut également utiliser des symboles de protection divers, mais attention : pour cela comme pour les runes, il convient d’en comprendre le sens pour en maîtriser l’efficacité. N’allez pas utiliser un symbole juste parce qu’on vous a dit « ça protège » sans savoir exactement ce qu’il veut dire et comment il opère (sans oublier que ça peut entrer dans l’appropriation culturelle si ce n’est pas dans vos traditions culturelles…). Parmi ces symboles, on retrouve également les sigils : ces dessins complexes exprimant une intention précise peuvent servir à tout, notamment pour protéger (attention cependant, si vous débutez les sigils peuvent être ardus à maîtriser, ne les utilisez que si vous avez bien compris leur fonctionnement et usage !).

Il faut aussi s’assurer que le symbole est correct, que ce soit vous qui le reproduisiez ou que vous achetiez l’objet « prêt à porter« , assurez-vous de son authenticité (de fait, quand on débute il est préférable de se contenter de symbole simples, faciles à retenir et donc à reproduire). Evidemment, c’est toujours mieux de faire les choses soi-même ou d’acheter à un·artisan·e plutôt que de prendre un objet fabriqué à la chaîne. Sachez que même un symbole simplement dessiné sur un bout de papier peut être plus efficace qu’une amulette achetée sur Amazon ou ebay…

De solides alliées

Autres protections magiques solides, les pierres précieuses et semi-précieuses. Attention à celles qui sont sensibles au rayons du soleil ou de la lune, veillez à les placer aux bons endroits dans votre maison pour éviter qu’elles soient exposées à ce à quoi elles sont sensibles…

Pour la protection d’un lieu, il vaut mieux privilégier les grosses pierres brutes. Et vu l’usage qu’on veut en faire, il est clair qu’il faut privilégier la qualité mais aussi l’éthique : une pierre qui aura causer de la souffrance (en étant par exemple extraite d’une mine où on fait travailler des enfants) ne sera pas vraiment bénéfique pour vous protéger, vu la quantité d’énergie négative qu’elle aura déjà absorber… Même en la purifiant bien, la souffrance causée ne s’effacera pas.

Les pierres de protection sont classées en quatre groupes :

  • celles qui absorbent les énergies négatives (on y trouve la tourmaline noire, l’obsidienne noir et l’obsidienne œil céleste, et la labradorite), mais attention à ne pas les laisser trop absorber, sinon elles feront plus de mal que de bien, il faut donc les purifier régulièrement, ou limiter la durée du contact dans le cas d’une protection individuelle (pour l’obsidienne, qui trop portée peut faire ressortir des blessures ou inciter à la déprime),
  • celles qui repoussent les énergies négatives et font bouclier (comme l’œil de tigre, et l’œil de taureau – qui est un dérivé de la première), mais là aussi ATTENTION : elles peuvent nous renvoyer notre propre énergie négative, elles ne conviennent donc pas à tout le monde,
  • celles qui apaisent (améthyste et pierre de lune) et qui, sans forcément permettre d’échapper à une situation compliquée permettent de pouvoir gérer, supporter, dans le calme,
  • celles qui rayonnent (pierre de soleil, cornaline, opale de feu et hématite), à utiliser avec parcimonie pour ne pas risquer de gonfler l’ego ou de se croire invincible…

Il existe également une pierre spéciale, prisée des druides et aujourd’hui des sorcières : les hag stones. Souvent en silex (qui est par ailleurs une pierre de protection très efficace), elles sont naturellement trouées par l’action mécanique de l’eau : on les trouve donc dans le lit des rivières ou au bord des mers et océans.

Sur fond blanc, trois petites pierres trouées, que l'on nomme hag stone.
Hag stones trouvées dans les Honnelles (Belgique) - ©La Tanière de Mélusine

Protection de soi

Globalement, c’est comme pour les lieux, mais en version réduite : les symboles sont alors portés en pendentif ou gravé sur des bracelets, et les pierres sont portées en bijoux ou placées dans les poches des vêtements. 

Pour les pierres, s’il est évidemment mieux de les prendre brutes, il peut s’avérer judicieux de les choisir polie si on veut les porter contre la peau. Car votre confort est aussi important : si votre pierre vous offre un contact agréable, vous dégagerez bien plus d’énergie positive. On a tendance à dire qu’il faut que les pierres soient grosses pour être efficace, mais de mon expérience même les bracelets fait en petites pierres roulées font bien le job. N’hésitez pas à porter aussi du cristal de roche pour renforcer le pouvoir des autres pierres que vous portez.

Mais il existe des protections particulières, notamment pour être en sécurité lors d’un rituel. La plus connue est le cercle magique. Ce « rituel autour du rituel » permet à la fois de contenir les énergies générées pendant le rituel et d’empêcher les énergies extérieures négatives de perturber le bon déroulement du rituel. Et contrairement à ce que beaucoup croient, il n’est pas nécessairement physique. Beaucoup de personnes s’en passent, mais il offre une sécurité en plus et peut être très rassurant, notamment pour les débutant·e·s.

Faire un cercle magique

La réalisation du cercle magique est assez simple, mais cela peut prendre du temps. Assurez-vous tout d’abord que rien ne viendra vous interrompre (cela vaut aussi pour le rituel qui suivra). Voici comment procéder :

  • Définissez les limites de votre cercle. Sa taille dépendra de ce que vous voulez faire, et il peut très bien n’être placé qu’autour d’un petit objet. Une fois cet espace défini, nettoyez-le physiquement et purifiez-le, afin de le rendre aussi neutre que possible.
  • Vous pouvez visualiser ce cercle mais vous pouvez aussi le délimiter physiquement (généralement dans le sens horaire), à l’aide de bougies (attention aux couleurs selon votre rituel), de la craie, du sel, des pierres (idem, choisissez-les bien selon votre rituel à suivre) ou même des cailloux. Attention avec le sel : évitez si vous le faites à l’extérieur, ce n’est pas très bon pour le sol. et bien sûr, pensez à purifier les objets utilisés pour faire le cercle.
  • Faites le vide en vous et prenez un moment pour vous concentrer sur votre cercle : il faut que vous vous y ancriez.
  • Une fois l’ancrage établi, c’est le bon moment pour inviter les différentes énergies ou entités ou divinités avec lesquelles vous voulez travailler. Ceci est bien sûr facultatif et dépend de vos croyances. Vous pouvez également en appeler à vos ancêtres… ou ne rien appeler du tout. Attention : certaines divinités et entités réclament des offrandes, renseignez-vous bien pour ne rien oublier et ne pas risquer de les fâcher.
  • Une fois tout cela fait, vous pouvez vous lancer dans votre rituel à proprement dit.
  • Lorsque vous avez terminé votre rituel, concluez en remerciant bien toutes les entités, énergies, divinités que vous avez précédemment invoquées. N’oubliez pas les formules de politesse d’usage, il serait bête de les contrarier au dernier moment…
  • Démontez le cercle petit à petit (généralement dans le sens anti-horaire) et au choix, selon vos pratiques, rangez ou jetez ce qui le composait (si vous conservez, n’oubliez pas de purifier à nouveau avant de les entreposer).
  • Une fois votre espace à nouveau dégagé, faites un petit peu de ménage (petit coup de balai, purification, aération de la pièce,…).

Gardez en tête que, comme pour tout en sorcellerie, le cercle magique doit vous correspondre. Vous devez vous sentir à l’aise, en sécurité, une fois à l’intérieur. Testez, essayez, osez, et surtout écoutez-vous.

La charge et l’intention

De plus, un symbole ou un objet protecteur n’est efficace que s’il est chargé d’une intention spécifique. Il ne suffit pas de peindre, graver, fabriquer pour que cela fonctionne : pendant tout le processus il faut avoir en tête ce que l’on veut obtenir. Tout comme la purification, on a vite tendance à oublier qu’un objet n’est pas magique en soi… Pour charger un objet, là encore c’est souvent une question de feeling, mais aussi de culture et de foi : certaines personnes pensent qu’il faut tout un cérémoniel codifié et effectué à des moments précis, d’autres pensent qu’une simple visualisation suffit. Dans tous les cas, on ne le répétera jamais assez : que vous invoquiez l’aide d’une divinité, que vous confiez votre talisman à la Lune, ou que vous méditiez pour harmonisez vos énergies, n’oubliez pas, soyez bien clair·e dans vos intentions !

Attention tout de même à être en forme et dans un bon état d’esprit pour cela : charger un objet peut vous « mettre à plat », car c’est votre énergie que vous y mettez. Prenez votre temps, soyez concentré·e, et pensez à prévoir un moment de repos une fois votre tâche finie (et ça, ça vaut pour tout en sorcellerie).

Enfin, n’oubliez pas qu’une protection ne dure pas éternellement, pensez à rechargez vos défenses régulièrement. Il en va de même pour les différents rituels, charmes et sorts de protection que vous pourrez lancer : la durée est toujours limitée.

Pour conclure cet article, quelques petites recommandations tirées de mon expérience personnelle :

  • Le principe du « bonjour, merci, au revoir » qu’on applique dans notre vie de tous les jours vaut aussi pour la sorcellerie : les entités, esprits, divinités ne sont pas à votre service exclusif et ont leur sensibilité propre. La politesse, l’humilité et le respect ne sont donc pas des options, et font aussi partie de ce qui sert à la protection. Pensez aux offrandes adéquates, et dites aussi merci à la Nature quand vous récoltez quelque chose.
  • Pour rester dans le travail avec des entités/divinités : ne les invoquez pas pour tout et n’importe quoi ! Vous aimeriez vous, qu’on vous dérange toutes les cinq minutes pour des broutilles ? De même, n’insistez pas si vous n’obtenez pas de réponse ou si vous sentez que ce à quoi vous faites appel ne veut pas travailler avec vous.
  • J’ai pour habitude de dire « si tu ne le sens pas, ne le fais pas » : si vous n’êtes pas à l’aise avec un rituel, un sort ou une pratique en général, c’est que ce n’est pas fait pour vous. Et réaliser ces choses qui vous déplaise risquerait de vous mettre en danger. Faire preuve de prudence c’est déjà se protéger.
  • Faites le bien autour de vous. C’est le principe de la loi d’attraction : le bien attire le bien, le mal attire le mal. Ainsi, si on vous fait du mal, préférez souhaiter que la personne se repente plutôt qu’elle souffre en retour. De façon générale, maudire est toujours une mauvaise idée : soit vous finirez par culpabiliser s’il arrive effectivement malheur à la personne ciblée, soit vous vous prendrez un bon retour de bâton, et croyez-moi, on le sent passer…
  • Ne pratiquez pas si vous êtes trop triste, en colère, en proie au doute,… Les émotions négatives fortes empêchent de se concentrer et peuvent aussi vous mettre en danger, dans le sens où vous ne serez pas dans de bonnes conditions pour faire ce que vous projetiez. 
  • Évitez également de vous lancer dans des rituels si vous n’êtes pas assez en forme. Vous pouvez tout à fait profiter de ces moments pour mettre à jour votre livre des ombres, écouter la nature, ou discuter avec d’autres sorcier·e·s… Pratiquer la sorcellerie c’est aussi ça.

Quoiqu’il en soit, n’oubliez pas que la protection est un passage obligé. De mon avis, c’est la première chose qu’on doit apprendre à faire avant toutes les autres pratiques. Alors si vous voulez avoir une pratique saine, œuvrez avec prudence ! On ne le dira jamais assez, mais n’ayez pas de pratique dangereuse, que ce soit pour vous ou envers les autres.

Et n’oubliez pas : écoutez-vous et faites confiance à votre instinct.

A vendredi prochain pour un nouvel article, qui sera consacré à la Pleine Lune (et notamment à la Lune Bleue, puisque le 31 Octobre 2020, pour Samhain, nous aurons droit à cette fameuse lune). Vous pouvez aussi relire l’article sur les phases lunaires.

Prenez soin de vous et que Mélusine vous garde…

Amélie la sorcière

Sources

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