Fêtons l’hiver à Yule

Avertissement : Pour tout ce qui concerne Yule et les autres grandes fêtes sorcières, je parlerais de « fêtes païennes », de « fêtes saisonnières » ou de « célébrations magiques »,… mais JAMAIS de « sabbat ». La raison est toute simple : le terme sabbat est lié à la culture juive, et l’utiliser pour des célébrations spirituelles n’ayant aucun lien avec le judaïsme (surtout quand on n’est pas soi-même juif·ve), c’est ce qu’on appelle de l’appropriation culturelle. Et sur mon site je m’efforce de ne pas m’adonner à cela, par respect pour les autres cultures et spiritualités.

L’hiver prend place à présent que l’automne a plié bagages. Cette saison – que j’apprécie particulièrement – est celle du froid et de l’obscurité. Mais pour beaucoup, que l’on soit initié·e à la magie ou non, c’est aussi une saison des plus festives.

Noël bien sûr, le Nouvel An ensuite… Mais dans la communauté sorcière, nous fêtons l’hiver à Yule, lors du solstice. Sans doute aussi importante que Samhain, cette célébration est la dernière de l’année civile et annonce le renouveau du cycle des saisons.

Du houx avec des baies rouges, et quelques fines branches de sapin, le tout posé sur un fond blanc brillant.
Photo de Susanne Jutzeler – sur Pixabay

Dernière mise à jour de l’article le 16 Décembre 2021.

Modifications apportées : ajouts et corrections concernant les divinités, les correspondances, et les sources, ainsi que diverses corrections minimes.

Aux origines…

De tous temps, les civilisations, sédentaires comme nomades, suivaient le cycle des saisons. Pour celles du monde indo-européen, les solstices et équinoxes sont très vite devenus des moments forts donnant lieu à de multiples célébrations. En ce qui concerne Yule, c’est du côté des peuples nordiques que le gros des traditions puisent leurs sources, mais pas seulement…

On peut notamment remonter jusqu’aux romains, qui, lors des Saturnalia (fêtes en l’honneur de Saturne et ayant lieu justement à cette période) célébraient le « natalis solis invictus » : la naissance du Soleil invaincu. Lors de ces fêtes, on s’offraient déjà des cadeaux et on décorait les arbres. Et comme on craignait que le bétail meure de faim durant l’hiver, on procédait à des sacrifices, que l’on consommait lors de festins. Le solstice c’est aussi la naissance du dieu solaire Mithra.

Chez leurs voisins les celtes, c’est du côté des druides que cela se passe, avec notamment la cueillette du gui. Ils procèdent également à de nombreux sacrifices pour faire revenir le Soleil et sa chaleur. Il y a aussi la légende du combat du Roi Houx contre le Roi Chêne, ce dernier sortant vainqueur et ramenant le Soleil à la vie. Cette tradition est d’ailleurs reprise par la Wicca.

Mais, comme je le disais plus tôt, c’est en Scandinavie que l’on trouve toute la genèse de Yule, à commencer par son nom. Du norrois Jól, c’est la fête de la « mi-hiver » (un des autres noms de Yule étant d’ailleurs Midwinter). Et ici encore on faisait des sacrifices pour appeler la bénédictions des divinités pour les récoltes de l’année à venir. C’est aussi le moment où Heimdall, le dieu gardien du pont Bifrost, quitte sa demeure pour visiter ses descendants, accompagné de ses neuf mères. Il laisserait, dit-on, un cadeau à chaque personne ayant bien agit durant l’année écoulée. Un cadeau… dans leur chaussette ! Ceux ayant mal agit ne recevaient que de la cendre (aussi dans leur chaussette). Et bien entendu, pour Jól, les divinités comme les hommes se réunissent pour festoyer et conter des histoires.

Avec l’avènement de la chrétienté, Yule fut rattaché à la naissance du Christ et donc à Noël, et ses traditions associées (l’arbre décoré, la bûche, les présents, le festin, les chaussettes,…) greffées à ce qui est devenu Noël (pour mieux convertir, il apparut vite qu’il était plus judicieux de garder les traditions que de tenter de les effacer). Si bien qu’aujourd’hui on peut souvent entendre parler de la fête du solstice d’hiver comme étant le « Noël païen ». Mais si les similitude sont nombreuses (en particulier sur le thème du partage), la spiritualité associée à Yule n’a que peu de choses à voir avec Noël…

Le moment de la fête…

Comme il s’agit d’un solstice, la date n’est pas fixe : selon les années, cela peut être entre le 20 et le 23 Décembre (il convient donc de vérifier chaque année les dates des solstices et des équinoxes). Pour 2020, ce sera ce lundi 21 Décembre. Cependant, il est assez courant dans certaines traditions de fixer cette date au 21 (c’est vrai que c’est plutôt pratique, mais de fait cela ne tombe pas toujours sur le phénomène astronomique…).

Pour ce qui est de la durée de la fête, là encore, et comme pour les autres célébrations, tout dépendra de la tradition que vous suivez. Cela peut être juste la journée du solstice, tout comme se préparer avant et/ou continuer après. Par exemple, il y a la coutume des quatre grosses bougies que l’on allume durant les quatre semaines précédent Yule (à raison d’une bougie par semaine). Et il y a les Douze nuits de Yule, qui consistent en douze célébrations différentes (en référence aux douze mois de l’année) que l’on commence à partir du solstice. La tradition de la bûche de Yule est dans la même veine.

Pour ma part, cette année je ferais au plus simple, avec une grosse célébration le 21, et j’agrémenterais les jours jusqu’à Noël puis la nouvelle année de petits moments spirituels selon mes envies et besoins. Quand on pourra à nouveau se réunir entre proches sans danger, j’envisagerais des célébrations bien plus élaborées.

Le principal, dans tous les cas, c’est de célébrer d’une manière qui fait sens pour vous. Ne vous forcez pas à suivre telle ou telle tradition si elle ne vous attire pas.

Tout un symbole…

Comme on l’a vu en parlant des origines de Yule, cette fête représente la victoire du Soleil, de la lumière, sur l’obscurité et le froid. Au solstice d’hiver, on survit à la plus longue nuit de l’année, avec l’espoir d’un renouveau, apporté par les jours qui rallongent progressivement jusqu’à Litha (le solstice d’été). 

A Yule, on accepte le changement du climat, et on supporte le froid en se rapprochant de nos proches. Traditionnellement, c’est la période des veillées autour du feu et des festins en famille, tous ces moments où l’on se réchauffe en partageant de bons souvenirs. 

On célèbre également le renouveau de manière générale : après la remise en question et l’introspection de Samhain, on se projette, on espère, on crée des liens.

Et bien entendu, on fête tout simplement l’hiver en profitant des belles choses qu’il apporte (dont la neige, quand on a la chance d’en avoir…).

Des dessins naturels faits par le gel sur ce qu’il semble être une surface vitrée, à travers laquelle on devine le soleil.
Photo de Larisa Koshkina – sur Pixabay

Les divinités à l’œuvre…

Si à Yule on célèbre le retour du Soleil, il est logique alors que l’on honore les divinités solaires, du moins pour les dieux : Mithra, Apollon, Cernunos, Baldr,…

Mais ce ne sont pas les seuls à avoir une place d’honneur à Yule : y siègent aussi Attis (dieu phrygien de la végétation perdue et retrouvée), Dionysos (comment ne pas le lier aux festins de Yule ?), Apollon (dieu solaire), Hélios, Janus, Saturne, Lugh et Mabon sont aussi de la fête, Mithra, Horus et Râ (les dieux égyptiens liés au Soleil), Freyr (dieu nordique de la fertilité, notamment agricole), Jólner (un des noms d’Odin), Ullr (dieu nordique de l’hiver), Baldr, Bragi, Marduk, et Surya. 

Côté déesses, c’est surtout l’image de la mère qui est honorée, avec Freya (jumelle de Freyr, déesse nordique de la fertilité et de l’amour), Skadi (déesse nordique de la chasse et de l’hiver) – ces deux dernières associées à Frigg formant la triple déesse-mère -, Hathor (déesse égyptienne de l’amour, liée à la vache, mère par excellence), Lucina (déesse romaine protectrice des femmes), Neith (déesse égyptienne mère de l’univers), et Hécathe (déesse nocturne mais qui revêt aussi le visage de la mère). On retrouve aussi Aprhodite, Vénus, Fortuna, Gaia, Idunn (déesse nordique du mariage), Ishtar, Isis, Maât, et Tiamat. Attention toutefois : à Yule, la déesse-mère s’apprête à enfanter, alors on ne sollicite pas inutilement les déités associées à cette image, mais on ne néglige pas les offrandes qui leur sont destinées, elles en auront besoin !

Puisque l’on parle de cycle et de renouveau, on peut aussi honorer les tisseuses du destins, que l’on nomme Nornes, Moires ou Parques selon les peuples.

Enfin, comme toutes les célébration des équinoxes et solstices, si cela fait partie de nos croyances, on n’oublie pas le Petit Peuple, particulièrement actif lors de ces célébrations, et de plus en plus espiègle depuis Samhain. On peut notamment honorer les Dames des nues et du temps liées à l’hiver, que sont Berchta, Dame Holle, Babouchka (qui protège de la Baba-Yaga et apporte des cadeaux aux enfants), la Befana, Graü Gaude (petite nièce de Berchta), la Guillaneu (une fée de ma région natale, très présente en Vendée), Tante Arie (qui aurait les mêmes activités que le Père Noël),…

A quoi correspond Yule ?

Dans toutes les pratiques de sorcellerie, il est de coutume de lier entre eux les éléments, les fêtes, les divinités, les couleurs, les aliments, les plantes, les intentions, les planètes, les pierres et cristaux,… Ces correspondances aident à choisir avec quoi on peut décorer la maison, l’autel, la table de fête, ou même quels vêtements porter ou quels aliments manger pour être en harmonie avec les énergies du moment.

Pour Yule, nous avons donc les correspondances suivantes :

  • Couleurs – or, rouge et vert, mais aussi blanc et argent
  • Pierres & cristaux – œil de tigre et de chat, rubis, turquoise, grenat, howlite, diamant, pierre de sang, zircon bleu, serpentine, péridot, héliotrope
  • Métaux : argent & or
  • Élément – Terre
  • Encens & huiles – pin, romarin, oliban, santal, myrrhe, cèdre, sapin (globalement toutes les senteurs rappelant la forêt), gingembre, noix de muscade, safran, cannelle
  • Herbes & plantes – gui, houx, laurier, romarin, cannelle, chêne, chardon, oliban, pin, lierre, bouleau, rose de Noël, achillée, camomille, genévrier, gingembre, mousse, pommes de pin, sauge, valériane, cèdre, épinette, et roses rouges ou blanches (surtout les boutons, à faire séchés en prévision), châtaigner, if, pommier, sapin, lierre, chardon béni, myrrhe
  • Nourriture – pommes, oranges, noix, noisettes, vin (épicé), cidre, fenouil, châtaigne, cannelle, biscuits et cakes aux fruits, fruits séchés, baies (canneberges), hibiscus, lait de poule (et globalement tout ce qui réchauffe)
  • Point cardinal – Nord
  • Runes – Fehu (le feu primordial, celui qui donne la vie), Uruz (la Mère), Hagalaz (rune de l’hiver, et de protection), Isa (autre rune de l’hiver, c’est la beauté de la glace, combinée à Fehu c’est la création de l’Univers), Jera (liée à Freyr & Freyja, pour la fertilité en général, celle de la nature en particulier), Eihwas (gouvernée par Ullr & Skadi, qui régissent la période de Yule), Sowilo (la rune du Soleil par excellence), Berkano (qui symbolise à la fois la déesse-mère et la naissance/le renouveau d’un cycle), Ingwas (la graine contenue, pour la libération de l’énergie solaire SI on l’utilise avec Jera et Berkano, qui la temporisent), Othalaz (pour la protection mais surtout pour l’ancrage ancestral, pour le lien renforcé avec la famille/les proches, et la transmission du patrimoine), et enfin Dagaz (qui représente littéralement la naissance du jour, et dont la forme rappelle celle de l’infini)
  • Planètes/astres – Jupiter et bien sûr le Soleil !
  • Zodiaque : Sagittaire & Capricorne (Yule marquant le passage entre les deux signes)
  • Ange : Auriel
  • Animaux : ours, sanglier, cerf, cochon (truie), écureuil, tigre, aigle, chouette/hibou, martin-pêcheur, oie, roitelet, rouge-gorge, vanneau

Pour Yule, la lumière est au centre de tout, et il est recommandé de placer des bougies autant que possible dans chaque pièce. Evidemment, la sécurité avant tout : plutôt que de risquer un incendie, n’hésitez pas à troquer les bougies naturelles par celles fonctionnant à piles, ou par des guirlandes lumineuses. Oui, la lumière d’une flamme est préférable, mais il ne faut pas pour autant chasser la modernité au prix de votre confort, encore moins de vos vies. 

Un temps pour célébrer…

Les fêtes païennes peuvent être organisées de différentes manières selon la culture et la spiritualité dans laquelle on baigne.

Pour ma part, j’ai tendance à fuir tout ce qui est trop codifié, alors ici vous ne trouverez que très peu de prières toutes faites, ou de rituels à suivre à la lettre. Ma pratique est intuitive et ne repose pas sur des bases strictes : il y a des règles générales à suivre pour ne pas avoir un comportement malsain (comme ne pas blesser sciemment autrui), mais les codes m’étouffent et nuisent à ma propre harmonie.

Aussi, ce que je vais vous proposer ici ce sont des activités diverses et variées qui font écho à la symbolique de Yule : la célébration de l’hiver et du renouveau

Activités à l’extérieur

  • Cherchez un sapin  à décorer (attention, je ne dis pas de le couper mais de le décorer !) en prenant soin de ne pas utiliser de matières non-biodégradables (à moins d’avoir la certitude de pouvoir les récupérer, notamment si c’est dans votre propre jardin) et de mettre de la nourriture pour les animaux.
  • Ramassez ce que la nature a à offrir pour décorer votre maison et pour mettre dans votre cheminée si vous avez la chance d’en avoir une fonctionnelle (de préférence des bois et branchages déjà tombés). Si vous n’avez pas de cheminée et voulez tout de même faire la tradition de la bûche de Yule, pensez à chercher 12 brindilles de chêne.
  • A l’aube au lendemain du solstice, sortez saluer le Soleil qui renaît.
  • Observez la nature et ses changements. Prenez le temps d’admirer l’art du froid, que ce soit le gel sur vos fenêtres, les toiles d’araignée gelées ou la rosée figées sur les arbres,… 
  • Observez le ciel (si vous le pouvez). Si vous avez des enfants, c’est le moment idéal pour partager quelques notions d’astronomie…
  • Laissez de la nourriture aux animaux. ATTENTION : on ne met pas n’importe quoi non plus ! Renseignez-vous sur les animaux des alentours, sur leurs habitudes alimentaires,… N’oubliez pas que pour les oiseaux, si vous commencez à les nourrir il faudra le faire tout l’hiver, car ils se font très vite à notre aide et risquent de perdre l’habitude de chercher eux-mêmes ailleurs…
  • Sortez découvrir les légendes de votre région, pour les partager ensuite avec vos proches. 
  • Si vous avez de la neige chez vous, ou la possibilité de fêter Yule à la montagne, sortez avec vos proches et amusez-vous comme quand vous étiez enfants ! Bonhommes de neige, bataille de boules de neige, luge,… Faites résonner vos rires et créez-vous de magnifiques souvenirs. 
Devant des sapins dans un paysage enneigé, une chandelle blanche brûle, posée sur un bougeoir noir dont on ne voit pas le pied.
Photo de Franz Bachinger – sur Pixabay

Activités à l’intérieur

  • Rituel des 3 bougies : tradition germano-nordique pour le réveillon de Yule/Noël. On allume une bougie rouge, qui représente l’esprit des ancêtres, puis une bougie bleue symbolisant les proches absents, et une bougie verte qui symbolise les enfants à naître. Ces trois bougies sont souvent disposées sur un support de bois représentant une barque solaire, ou sur une bûche en bois.
  • Mettez des plantes, notamment des plantes pérennes représentant la nature hivernale, dans votre maison, pour vous rappeler que la nature survit toujours.
  • Faites le ménage ! Triez, rangez, nettoyez. 
  • Et donnez ! A Yule, on se doit d’être charitable, alors donnez ce dont vous n’avez plus besoin, surtout aux plus démunis. C’est le bon moment pour adhérer à une association d’aide aux personnes vulnérables, aux SDF,… (si vous le pouvez évidemment).
  • Décorez votre maison, à commencer par votre sapin (s’il n’est pas déjà fait, Yule est le bon moment pour s’y mettre). Veillez à ce que, comme tout le reste, votre décoration fasse sens. N’hésitez pas à cacher vos intentions dans des boules transparentes à accrocher, ce sera du plus bel effet. 
  • Cuisinez, à plusieurs si possible. 
  • Comme dit plus haut, illuminez votre maison, faites entrer la lumière, le Soleil.
  • Faites des veillées et partager histoires et légendes que vous connaissez. C’est aussi le bon moment pour raconter les histoires de famille et transmettre cette part de votre patrimoine.
  • Occupez-vous de votre proches, humains comme animaux. A Yule, on se concentre sur le vivant !

Activités spirituelles & magiques

  • Tradition des 12 nuits de Yule (que je ne détaillerais pas cette année, pour ne pas alourdir cet article déjà conséquent, vous pouvez en trouver des exemples ici et )
  • Faites brûler la bûche de Yule pendant 12 nuits (ou chaque soir brûlez de façon sécurisée une brindille de chêne).
  • Fabriquez une couronne pour votre porte d’entrée. Avec du sapin, du houx, du gui,… Outre le côté décoratif, c’est aussi un bon moyen de dire aux mauvais esprits qu’ils n’ont pas leur place chez vous !
  • Pendant que vous ferez le ménage, renouvelez les protections et les énergies de votre foyer. 
  • Faites la liste de tout ce qui vous est arrivé de bon cette année et remerciez toutes les personnes qui en sont responsables. Personnes ou autres, d’ailleurs…
  • Brûler un vœu (ou plusieurs si vous en ressentez le besoin, mais inutile de se montrer trop gourmand·e !)
  • Méditez sur le renfermement, l’obscurité et le renouveau.
  • Honorer déités et entités selon vos croyances.
  • Si vous avez procédé à un ancrage de l’énergie solaire à Litha, il est temps de la laisser sortir et s’exprimer. 
  • Procédez à vos rituels de force, prospérité, fertilité, bannissement, inspiration. ATTENTION : à Yule on ne fait rien avec la volonté de nuire (plus généralement, on ne fait jamais ça, cela vaut mieux).
  • N’hésitez pas à remettre de l’ordre dans ce qui vous sert de « livre des ombres ». Pourquoi pas en vous lançant dans un nouveau projet artistique ?
  • Enfin, montrer votre gratitude : envers les autres, envers l’univers, envers les déités et entités que vous honorez, mais également envers vous-mêmes…

Et voilà, nous sommes arrivé·e·s à la fin de cet article… Il ne me reste donc plus qu’à vous souhaiter de passer un Yule magique, ainsi qu’un Noël (si vous le fêtez) merveilleux ! 

Noël et le Nouvel An tombant les deux prochains vendredis, notre rendez-vous hebdomadaire sera quelque peu chamboulé pendant les fêtes, je vous retrouve donc pour un bref mais festif article le mardi 29 Décembre… Avant de reprendre notre cheminement habituel à partir du vendredi 8 Janvier 2021.

Que la lumière, l’amour, la convivialité et la chaleur vous entourent pour cette dernière célébration de l’année 2020 !

Prenez soin de vous et que Mélusine vous garde…

Amélie la sorcière

Sources

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