Me revoilà pour un article bien plus personnel et ô combien important, que je voulais faire depuis un moment. J’ai passé beaucoup de temps à travailler sur l’aspect théorique, pour transmettre une parie de mon savoir, il était donc grand temps que je revienne un peu sur ma pratique.
Et quelle meilleure occasion pour cela que de le faire avec l’article qui marque la deuxième année d’activité de La Tanière de Mélusine ? Et oui, deux ans déjà ! J’ai été moins prolifique cette année, mais je ne regrette pas d’avoir réduit le rythme. Pour autant, ma pratique n’a pas diminuée en intensité et je me sens même beaucoup plus à l’aise aujourd’hui pour à la fois la mettre en œuvre et en parler.
Aujourd’hui donc, je vais faire le point sur ma pratique, en vous parlant notamment de la Voie Verte.
Difficile, quand on pense aux sorcières, de ne pas s’imaginer l’une ou l’autre des figures bien connues à travers notre culture. Que ce soit dans les croyances et superstitions depuis le Moyen Âge, ou dans la Pop Culture, la sorcière a toujours été présente dans nos esprits… En bien, mais hélas très souvent en mal.
Mais s’il est facile de s’imaginer une vieille femme méchante, mangeuse d’enfants, ou une jeune femme fatale, croqueuse d’hommes, toutes deux lançant malédictions et mauvais sorts, il est moins aisé, lorsqu’on n’y est pas initié·e, de connaître le vrai visage des sorcières… et des sorciers.
Aujourd’hui, nous allons donc voir ce que signifie pratiquer la sorcellerie de nos jours.