Me revoilà pour un article bien plus personnel et ô combien important, que je voulais faire depuis un moment. J’ai passé beaucoup de temps à travailler sur l’aspect théorique, pour transmettre une parie de mon savoir, il était donc grand temps que je revienne un peu sur ma pratique.
Et quelle meilleure occasion pour cela que de le faire avec l’article qui marque la deuxième année d’activité de La Tanière de Mélusine ? Et oui, deux ans déjà ! J’ai été moins prolifique cette année, mais je ne regrette pas d’avoir réduit le rythme. Pour autant, ma pratique n’a pas diminuée en intensité et je me sens même beaucoup plus à l’aise aujourd’hui pour à la fois la mettre en œuvre et en parler.
Aujourd’hui donc, je vais faire le point sur ma pratique, en vous parlant notamment de la Voie Verte.
En tant que « sorcière verte », j’ai bien évidemment un lien très fort et très particulier avec la nature. Je m’y sens bien, j’y accède à une harmonie et à un équilibre qui sont nécessaires à mon épanouissement. Aussi, l’étudier est une évidence pour moi.
Parler de plantes, c’est tout de même très vaste : il y a évidemment les herbes, fleurs, arbres dans leur état naturel, mais cela concerne aussi toutes les disciplines liées qui travaillent et transforment ces plantes, pour transmettre leurs bienfaits de différentes manières. Aujourd’hui donc, voyons ensemble toute la magie de la Nature !
Cette semaine, je continue ma série sur les « premiers pas » dans la pratique ésotérique pour vous transmettre tous les bons conseils et avertissement qui permettent d’avoir une pratique saine et épanouissante dès le départ.
Après avoir parlé de protection et de purification, il devenait nécessaire de traiter une notion que, comme les deux autres, on peut facilement oublier, mais qui est elle aussi primordiale. Aujourd’hui donc, ouvrons le troisième chapitre des premiers pas : l’ancrage.
Que l’on débute ou qu’on ait beaucoup d’expérience dans les domaines ésotériques, il y a régulièrement des moments où l’on peine à trouver comment pratiquer. Qu’il s’agisse d’une perte de foi momentanée, d’un manque de temps pour soi, ou de problèmes de santé, on doit parfois se résoudre à laisser de côté rituels et célébrations…
Mais pour autant, la magie n’est jamais très loin et il est toujours possible de trouver quoi faire sans se mettre en danger ou sans se mettre la pression concernant la durée de mise en place. Mais alors, comment pratiquer quand ça ne va pas ?
Il fascine autant qu’il fait peur. Partout où il s’installe, il fait parler de lui, en bien parfois, mais beaucoup en mal, peut être même de plus en plus… mais toujours il laisse sa marque. Il est inoubliable.
Cet animal qui a évolué tout autant que l’humain dont il croise la route encore et encore, s’est inscrit tout autant dans les contes que dans les religions, et encore aujourd’hui il est au centre de certaines préoccupations. Aujourd’hui, je vous parle des mythes et symboliques du loup !
S’il est un animal que l’on associe bien volontiers à la sorcellerie, c’est bien le chat. Animal mystique et mystérieux, il a conquis le cœur des hommes bien longtemps avant notre ère, et il continue de nous fasciner.
Magique et magicien, il aura aussi eu le malchance de subir le courroux du christianisme, mais aujourd’hui il reprendre ses droits… Aujourd’hui, je vous parle donc des mythes et symboliques du chat.
Aujourd’hui, j’achève le cycle des présentations générales des célébrations païennes, avec celle qui est la première des trois fêtes des récoltes (les deux autres étant Mabon et Samhain).
Souvent négligée, cette fête est pourtant chargée d’une très belle symbolique et d’une valeur qui semble faire défaut à notre société capitaliste et individualiste : le partage. Aujourd’hui donc, il est plus que temps : récoltons à Lughnasadh les graines de la paix.
Étrange et mystérieux, beaux et effrayants à la fois, fascinants, surtout, et envoûtants, voilà ce qui caractérise le plus les chouettes et les hiboux. Ces rapaces nocturnes font couler beaucoup d’encre, qu’on les trouve de bons ou de mauvais présages…
En ce qui me concerne, ils font partie de mes animaux préférés, que ce soit pour leur beauté que pour tout ce qu’ils représentent. Alors aujourd’hui je vais vous présenter quelques mythes et symboliques de la chouette et du hibou.
Les saisons se succèdent et s’enchaînent, et déjà nous quittons le printemps pour rejoindre l’été. La nature qui s’éveillait est maintenant très active, les plantes foisonnent et se gorgent des rayons du Soleil, qui répand sa lumière toujours plus fort.
Arrivé à son apogée, il nous baigne dans son énergie, pour nous donner les armes pour résister à la période sombre qui viendra avec l’automne et l’hiver. Car ainsi va le cycle de la nature… Mais pour le moment, adorons l’été à Litha !
L’eau, le feu, la terre et l’air nous accompagnent partout, tout le temps, tout au long de notre vie et ce depuis la naissance même de notre planète. Indissociables bien que différents, nous les voyons sans nous y attacher, et parfois, nous les considérons même pour acquis (notamment pour l’eau, cette ressource si précieuse).
Les personnes qui s’intéressent aux domaines ésotériques savent, en revanche, à quel point les quatre éléments, parfois associés à d’autres, sont primordiaux et fondamentaux. Sans eux, d’aucuns pourraient même dire qu’il ne peut y avoir de magie… et la sorcière « verte » que je suis ne peut qu’être de cet avis ! Je vais donc aujourd’hui vous présenter les quatre éléments et leurs utilisations dans la sorcellerie.